Discours de Fréféric CRANCEE
En 1985, nous étions probablement tous déjà actifs peut-être même chez Messier ou dans le groupe Snecma.
Marcel Lainé, lui, réunissait à la mairie de Montrouge une centaine d’anciens salariés de Messier-Hispano-Bugatti.
Ces salariés avaient quitté la société à la suite du contrat de solidarité de 1982 ou des mesures prises en 1984. La présidence d’honneur avait été confiée à René Lucien et Marcel Lainé avait assuré logiquement la présidence de cette nouvelle association : l’ACAM dont les premiers objectifs étaient de garantir l’application des mesures négociées lors des accords de 1982 et 1984.
Edgard Biton, Hervé Poisson et Roger Baldet rejoignirent l’ACAM en jouant des rôles déterminants pendant de nombreuses années. Ils furent relayés par la suite par Roger Lafonta, Michel Glémarec, Bernard Bouchez et bien d’autres dont l’implication a été déterminante pour poursuivre le développement de l’association mais aussi pour élargir ses activités aux domaines culturels et à l’histoire des Messier. Je n’oublie pas non plus Jean-Claude Osché et Pierre Woerner qui ont bien voulu consacrer le temps et l’énergie qui ont permis de faire de l’ACAM ce qu’elle est aujourd’hui.
Bien entendu, je dois citer le bureau actuel de l’ACAM qui nous permet de nous retrouver sur ce bateau et à bien d’autres occasions pour des sorties culturelles, de loisirs ou simplement amicales tout au long de l’année. Je cite donc, Claire Baratte, Marie-Anne Gillot, Benoit Gosset, Olivier Cardinet, Pascal Autié, Christian Lemonnier, Luc Rucar et Jean-Pol Coulmier, sans oublier nos vérificateurs aux comptes Sylvia Bellon et Alain Richard, qui contribuent avec rigueur à la validation financière et comptable de nos activités mais qui ont aussi la gentillesse de partager des conseils pleins de sagesse. Un grand merci à eux tous. Un grand merci aussi aux adhérents sans qui notre association perdrait sa raison d’être.
40 ans pour l’ACAM donc, c’est le temps d’un parcours professionnel, mais il n’est pas question pour notre association de prendre sa retraite et d’arrêter, bien au contraire ! Vous verrez prochainement un programme de visites et de voyages qui vous réjouira sans aucun doute.
