De 1925 à 1931, George Messier livre plus de 150 voitures de sa marque.

Le réglage automatique se fait en fonction de la répartition des charges et du tangage. Les ressorts métalliques sont remplacés par quatre appareils de suspension réalisant la liaison élastique chassis-essieu.

Chaque appareil se compose d’un cylindre fixé au châssis dans lequel se déplace un piston solidaire de l’essieu. Un matelas d’air comprimé dans le fond du cylindre assure l’élasticité du système et la section réduite des orifices de passage freine le passage de l’air. L’alimentation en air comprimé est assurée par un réservoir central où la pression est maintenue par une pompe commandée par le moteur.

Les deux photos ci dessous d’une Messier sans ressort ont été prises en mars 2008 au musée Safran juste après son rachat au Musée de l’Automobile « Charbonneaux » de Reims. Itinéraire pour se rendre au musée.

Une photo beaucoup plus ancienne, prise au salon de Genève en 1927:

Un article sur les voitures Messier extrait de “L’album du fanatique” des années 70 :